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Zitat von arne
Auch die Franzosen berichten:
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Interessant die Dreiteilung, die Didier Pasamonik macht:
1. La mise en place d’une forme de roman graphique international. Ces dernières années, les éditeurs se concentrent sur des cycles courts qui, compilés, voire même légèrement réduits, peuvent rivaliser avec les meilleurs œuvres internationales, notamment grâce à une "franco-belgian touch" facilement identifiable, où l’auteur trouve toute sa place.
Will heißen, er vergleicht die Graphic Novel mit kurzen Albenzyklen von zwei, drei Bänden. Würde bei uns keiner tun. Tut man eben nicht.
2. La bande dessinée "mainstream" n’a pas perdu la main non plus. Une BD d’aventure comme Thorgal de Jean Van Hamme & Rosinski (Le Lombard) est devenue un best-seller en Pologne
"Thorgal" als Mainstream? Gäbe es da bei uns keinen Aufschrei? Was ist bei uns Mainstream? Disney? Marvel?
3. Les marques patrimoniales. Les éditeurs francophones ne renoncent pas davantage à leurs grands héros. Les publications des suites de Blake et Mortimer, Lucky Luke, Boule & Bill, Yakari et désormais Astérix
Das ist das, was bei uns "Klassiker" heißt, in Frankreich aber als nationales Kulturgut (patrimoine) angesehen wird.
eck
rt